Moi j'avais écri un truc un soir juste avant d'aller me coucher, je l'ai pas modifié depuis, c'était une grande période de solitude gnéhé
Tu ouvres la porte de ta maison
enlève tes pompes et pose ton blouson
il ne reste que toi et tout ces objets
qui te regardent, tous inanimés.
Tu gravis les marches lourdement
Les pas qui cognent et raisonnent aux tympans.
Un compagnon presque un ami s'impose,
Noircit le ciel bleu et dépeint le rose.
Assis, tu crois penser et réfléchir
Mais ce mur t'empêche d'agir.
La solitude t'as pris à bras le corps
Et elle t'obscède encore et encore
Enfermé dans cette coquille dure comme le fer,
La vie se meure dans tes yeux clairs.
Une étincelle subsiste au fond,
Une flamme qui tremble et tient bon.